Ode au printemps

Pour fleurir mon être, j’emprunte au temps le Printemps. Je m’enveloppe de nuages au fil des pages.
15 mars l__odeur_du_printemps_by_shum_a-d3cvo20À cette saison la pluie est joueuse et intrigue les âmes boudeuses dont l’orage de leur colère fait frissonner le plus froid des Hivers.

La pluie n’est pas mesquine. Elle taquine le soleil, et le ciel qui s’arc en ciel colore et ponctue mes journées en soif d’une vie printanière.

Ma joie de vivre bourgeonne. La saison des avants-premières se présente et résonne.

Cette mélodie annuelle nous interpelle.

On s’émerveille face à une vie perpetuelle qui se renouvelle. Paradoxe fleuri d’une vie nouvelle qui ne meurt jamais.

Nous sommes spectateurs d’une saison théâtrale.

Silence : une fleur éclot, le chant des oiseaux fait écho : Ils ont ouvert le bal.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.