Disons qu’elle s’appelle Sarah… En écho a un précédent article, dans ces quelques lignes notre jeune soeur nous livre son témoignage concernant le poids des préjugés et du racisme qui sévit malheureusement dans une partie de la oumma.
Notre chroniqueuse Saadia de One way to ihsan rend justice aux faux-plans en tous genres et aiguise sa plume incisive sur un sujet qui fait couler autant d’encre que de larmes : la mouqabala ! Enjoy !
Avoir un bébé est vrai don d’ALLAH pourtant c’est si facile pour Lui, « Son commandement consiste à dire « Sois » et c’est » (Ya-Sin, verset 82). Et en plus, c’est une aventure tout à la fois magnifique et complètement miraculeuse.
Suite à notre appel à témoignages, force a été de constater que les soeurs perçoivent de nos jours l’école publique plus comme un non-choix que comme une décision éducative assumée. Trois soeurs nous confient leur vision de l’école, leur parcours personnel et leur désir en tant que maman.
Zahara nous a fait le plaisir de nous livrer son témoignage sincère sur son parcours scolaire et son choix courageux d’étudier seule. N’hésitez pas à lui laisser un petit message inchAllah!
Nous y sommes : THE jour où il faut déclamer son amour à sa moitié, offrir un immonde présent parmi la surenchère guimauvesque de cœurs et de cupidons potelés tous plus kitsch les uns que les autres, et dépenser une fortune dans un restaurant.
Je vous écris afin de redonner espoir à toutes ces sœurs qui comme je l’étais, sont perdues et ne trouvent pas encore d’issue. Il faut garder à l’esprit qu’Allah tient toujours ses promesses et qu’ « après la difficulté certes il y a la facilité » comme Il nous l’assure dans le Qur’an.
Je vous emmène pour un week-end « so British » à la découverte de la capitale britannique à 2h15 de Paris (Gare du Nord) en Eurostar, une des plus grandes villes d’Europe mais aussi l’une des plus belles qui abrite une grande communauté musulmane.
C’est aux alentours de 18 mois que votre enfant aura les capacités physiologiques pour commencer à apprendre la propreté. Mais attention, point de règle en la matière.
Nous sommes arrivés en terre musulmane il y a un peu plus d’un an, j’ai toujours fais l’IEF mais l’idée de mettre ma fille dans un Dar Coran ou Hadith me plaisait. Ma fille venait d’avoir 6 ans…
La femme est certes le pilier de la société et la base du foyer musulman. Elle est la garante de la génération à venir. Si la femme est pieuse, alors elle fera en sorte que sa descendance le soit aussi, et ceci par la volonté d’Allah. Cependant, si elle dévie du droit chemin, sa descendance en fera les frais.
J’ai eu une grossesse tout à fait normale, ordinaire : il y a eu la découverte de la grossesse, les nausées, les visites chez la gynéco tous les mois, les prises de sang, tout était normal. On s’imagine l’accouchement, on s’imagine un bébé qui nous ressemblera, qui sera un gros bébé comme tous les bébés de la famille. L’imaginaire est une partie constituante de la grossesse, durant 9 mois la future maman que nous sommes prêtes à devenir laisse vaquer son imagination loin, très loin, en pensant au caractère de son bébé, en pensant au physique de son bébé, en pensant à l’amour de son bébé, tout est idéalisé dans notre esprit.
Cette compétition d’un genre nouveau a finalement consacré Isabelle CATIAU, convertie à l’islam portant fièrement son foulard. Gage de professionnalisme, reconnaissance du sérieux et de la qualité de son engagement auprès des enfants.
La place de l’homme et de la femme dans notre société occidentale du 21ème siècle n’a jamais autant été controversée : contestations légitimes pour les uns, revendications humanistes pour les autres. Chacun cherche à redéfinir à la lumière de son époque sa place, ses devoirs et surtout ses droits. La mondialisation ; ce n’est pas que la crise du portefeuille, c’est aussi la crise des valeurs qui ne sont plus les repères nécessaires au bien-être de tous. Après avoir homogénéisé durant plusieurs décennies nos modes de consommation, c’est maintenant aux modes de pensée qu’il convient de s’attaquer.
La notion de chef de famille me parait un peu démodée, désuète voire même complètement incorrecte de nos jours. De nos jours, et en tout cas dans mon foyer, ce rôle est bel et bien porté par nous deux et les décisions sont prises ensembles.
Nous continuons notre série sur la perception que les hommes ont de nous. La semaine dernière nous vous avons présenté le témoignage d’un père, non musulman dont la fille s’est convertie à l’islam. Il nous a parlé avec pudeur et sincérité des sentiments qu’il a ressenti et de la manière dont il voit sa fille, aujourd’hui voilée.
Pas encore la bague au doigt ? Toujours pas mis le grappin sur un pauvre hère ? Pas eu l’occasion de passer la corde au cou d’une victime consentante ? Si vous n’avez pas encore goûté aux joies du mariage : cet article est fait pour vous !
Le mariage est une institution sacrée (mîthâq ‘Azîm) et aimée d’Allah. Malheureusement, il peut arriver que l’épouse souhaite rompre celui-ci et demande le divorce : al-khul’. Si cela est autorisé, cette demande ne doit intervenir qu’en dernier recours et répond à des conditions bien précises.
Découvrez tous les bienfaits des activités extrascolaires qui sont très importantes pour construire l’identité, la personnalité et le savoir de nos bambins hors du cadre très codifié et uniformisé de l’école.
Une lectrice partage aujourd’hui une épreuve douloureuse de sa vie : le divorce. Parfois destructeur mais pouvant être aussi un tremplin, il a conduit notre sœur à ses retrouver et à se (re)construire.
Au bord d’une autoroute s’improvise une aire de repos : le « berèd dial ètey » (théière de thé) prend place sur la « botagaz », les enfants courent autour de la voiture pleine à ras bord ! Papa se repose et détend un peu ses jambes avant de reprendre la route pour…le bled !!!