À l’âge de 23 ans, j’ai été atteinte d’une leucémie et j’ai donc connu les hospitalisations longues en chambre stérile avec de lourds traitements de chimiothérapie et rayons et aussi la solitude, même si j’ai été bien entourée par ma famille et quelques proches.
À l’époque j’avais 17 ans, j’étais une jeune fille « ordinaire ». Mes parents étant très croyants, ils m’ont inculqué les valeurs de l’islam et pour cause je fais ma prière depuis mes 12/13 ans hamdulilah.
Sauf que voilà, je faisais la prière, j’allais à la mosquée prendre des cours d’arabe et de religion, mais d’un autre côté je ne portais pas le voile, j’avais une bande d’amis (mixte) et je passais mon temps à trainer avec eux, on fumait, etc. mais hamdoulah je n’ai jamais touché à une goutte d’alcool ou approché de la fornication. En gros j’avais un pied à la mosquée et un pied dans la rue, jusqu’au jour au Allah en décida autrement.
Salam alaykoum mes sœurs, voilà je vais vous raconter un petit bout de ma vie, et ainsi vous montrer qu’Allah est grand et guide vraiment qui il veut !
En tant que musulmans, nous n ignorons pas inéluctabilité de la mort et le Noble Coran ainsi que les récits prophétiques regorgent de rappels à ce sujet.
Les portes de la Mecque et Médine sont officiellement ouvertes pour la saison Omra 2014. Une annonce faite par Bandar Hajjar, ministre du Hajj en Arabie Saoudite, qui annonçait par la même occasion que ses services prévoyaient de recevoir en 2014 près de 6 millions de pèlerins contre 5 millions l’année précédente. En France, le premier départ pour la Omra de la saison 2014 a eu lieu le 22 décembre dernier avec l’agence Safar Muslim.
Souvent rêve de petite fille, rassemblement familial et occasion unique dans une vie, la cérémonie du mariage est la porte d’entrée vers la future vie de couple. Bien souvent, malheureusement, la pression de l’entourage ou l’euphorie de la préparation de cet évènement nous font basculer dans des traditions totalement opposées à l’Islam alors que le mariage doit avoir pour but premier de plaire à Allah, et la cérémonie, premier pas vers dans une nouvelle vie est la clé de cette bénédiction.
La méthode « 2 jours de détox, 5 jours de plaisir » ou « 5:2 diet » fait fureur outre-manche. Encore un régime me direz-vous Peut-être pas car vous verrez que ce régime se rapproche des recommandations de l’islam en termes d’alimentation.
Avez-vous remarqué que lorsqu’on est touché par un évènement douloureux, la première chose que notre entourage cherche à faire est en général de l’éluder ? Sortir, parler de choses et d’autres, regarder ailleurs, comme pour poser un voile opaque sur la douleur qui ronge, comme pour panser le mal en annihilant la souffrance.
Combien sommes-nous à rester dans des situations qui ne nous conviennent qu’à moitié, à hésiter à prendre des décisions vers un meilleur avenir, et à prendre ainsi le risque que demain ait le goût amer du regret ?
Une de nos soeurs a désiré nous faire part de l’épreuve qu’elle a vécue lors de la perte de sa bien-aimée grand-mère. Qu’Allah lui accorde le Paradis et qu’IL apaise notre soeur et la récompense pour sa patience et son endurance.
A l’occasion de la sortie du dernier numero d’Imane Magazine, « Convertis, les mille couleurs de l’islam », Nûr nous offre un joli texte poétique sur l’importance de l’islam dans sa vie et le rôle que la religion a eu dans son équilibre.
Toute une famille norvégienne s’est convertie à l’islam en ce Ramadan 2013 !
La famille Sigvartsen, en vacances à Marmaris, une ville touristique turque, a ainsi prononcé la Chahada il y a quelques jours dans la mosquée de leur lieu de villégiature! Nyman, Frode et leurs 3 enfants, qui se qualifient d’athées, ont en effet ouvert leur cœur et Allah ta’ala a enlevé le voile qui obscurcissait leur perception en les guidant vers la vérité.
Virginie est une voyageuse. Et son plus beau voyage l’a tellement marquée qu’elle tente de le renouveler, encore et encore, tant que cela lui est possible. Ce voyage, qui a tant marqué son cœur, et où ses pieds aiment à se poser, c’est la ville sainte et bénie de Jérusalem, al-Quds.
Il est curieux et désolant de voir qu’à une époque de grande fitna, les cœurs s’éloignent, les rancoeurs grandissent. A l’heure même où la solidarité devrait être notre priorité de tous les instants, nous agissons les uns envers les autres avec méfiance, parfois même avec mépris.
« Certes dans la création des cieux et de la terre, dans l’alternance de la nuit et du jour, dans le navire qui vogue en mer chargé de choses profitables aux gens, dans l’eau qu’Allah fait descendre du ciel, par laquelle Il rend la vie à la terre une fois morte et y répand des bêtes de toute espèce dans la variation des vents, et dans les nuages soumis entre le ciel et la terre, en tout cela il y a des signes, pour un peuple qui raisonne. »
Après avoir vu dans un premier article l’importance d‘une alimentation saine et la préconisation de cette diététique en islam ; intéressons-nous à un fruit particulier et recommandé pour ses bienfaits sur notre santé : la datte.
Le croyant sait qu’il n’est ici que de passage, et que son au-delà dépend de comment aura été sa vie ici-bas. Et ceci fait (idéalement) de lui un être enclin à accomplir le bien.
Nous y sommes : THE jour où il faut déclamer son amour à sa moitié, offrir un immonde présent parmi la surenchère guimauvesque de cœurs et de cupidons potelés tous plus kitsch les uns que les autres, et dépenser une fortune dans un restaurant.
Zahra Ali nous fait l’honneur et le plaisir de nous proposer ses réflexions durant la saga de ce mois ! Intéressons-nous donc dans cette chronique à la femme, au poids bilatéral qu’elle porte entre un Occident ultra critique et des musulmans culpabilisateurs, et à la nécessaire réappropriation du statut émancipateur que lui a octroyé l’islam. Cette première partie s’intéressera à la vision biaisée et protectionniste de l’Occident qui infantilise et dévalorise l’Autre et a fortiori la musulmane.
Pour clore cette magnifique saga qui nous a permis de (re)découvrir l’histoire si intense de quelques-uns des Compagnons (Abu Bakr, Bilal ibn Rabah, Mus’ab ibm ‘Umayr et ‘Umar ibn al-Khattab) du Prophète salaLlahu ‘alayhi wa salam, nous partons aujourd’hui à la rencontre de Salman Al Farîsî ou Salman le Perse dont le cheminement est une incessante quête de vérité et qui est pour nous un exemple de dévotion, de courage, d’intelligence et d’ascétisme.
Après Abu Bakr, Bilal ibn Rabah et Mus’ab ibn ‘Umayr, aujourd’hui nous parlons du deuxième calife bien guidé de l’islam, Umar ibn al-Khattâb, dit « al-Farûq ». Il fut celui qui trancha entre le bien et le mal, la justice et l’injustice, la vertu et le vice, la légalité et l’illégalité. Sa vie commença dans une période d’ignorance et s’acheva en plein Âge d’or de l’islam.
Nous avons choisi de vous présenter pour cette première saga consacrée aux Compagnons, des personnalités et des profils très divers afin de percevoir le pouvoir fédérateur et universel de l’islam. Ainsi, après avoir parcouru la vie trépidante d’Abu Bakr, après avoir admiré le courage de Bilal ibn Rabah, versons quelques larmes d’émotion et de joie sur un martyr atypique, Mus’ab ibn ‘Umayr. RadhiAllahou’anhou.